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Depuis plusieurs années, j’ai pour habitude de m’épiler intégralement le corps. J’aime me voir complètement lisse et sentir ma peau aussi douce que celle d’une femme. Certainement ma façon d’extérioriser cette part de féminité qui existe en chaque homme. A force de m’épiler j’en fais d’ailleurs une fixation. Armer en permanence d’une pince à épiler, je passe mon temps libre à chasser le moindre poil sur mon corps. Ce qui se traduit par des instants de détente qui me font oublier les dures réalités de la vie quotidienne.

Cela commença il y a longtemps, bien avant que cela ne devienne une mode. En ce temps là avoir le sexe épilé relevait de la psychiatrie. Une déviance sexuelle apparentée à la pédérastie chez les hommes. La jeune génération d’aujourd’hui ne peut imaginer le carcan moral imposé par la société de l’époque. Aux plus anciens, souvenez-vous du sort réservé aux filles-mères… J’étais alors dans la force de l’âge et le plaisir étant plus fort que tout, je bravais les interdits moraux. Préférant égoïstement les plaisirs de mon corps lisse aux femmes, je me passai provisoirement de leur agréable intimité en attendant de rencontrer celle qui m’aimerait ainsi.

Lorsque je me rasai le sexe la première fois, ce fut dans la salle de bain sous la douche. La facilité avec laquelle le rasoir glissa sur ma peau humide et l’excitation engendré par la situation me poussèrent à raser au delà du raisonnable. Emporté par le plaisir, je me rasai des fesses jusqu’au ventre en passant par l’anus. Je m’arrêtai de justesse au torse. En me découvrant ainsi face au grand miroir de la salle de bain, ma pudeur de mâle s’offusqua de cette anormale nudité.  Mon corps lisse me choqua. Mais l’érotisme troublant qui se dégagea de ma verge raide et de mon pubis sans poil me poussa au plaisir suprême. Excité comme un puceau, je me branlais follement. J’eus plusieurs orgasmes consécutifs en giclant à chaque fois mon sperme sur le grand miroir. Je me calmai lorsque plus rien ne sortit de ma verge.

Le rasage présente l’inconvénient de favoriser une repousse rapide. Et caresser un sexe qui ressemble à une barbe de trois jours n’a rien d’agréable. Par contre, on peut rapidement faire face à l’opinion publique en cas de problème, les poils repoussant très vite. Je me souviens encore de la première fois où je m’épilais le sexe et le pubis avec une pince. De rester lisse à ces endroits pendant plusieurs semaines l’emporta sur la gêne de me montrer ainsi. La douceur de mon sexe au fil des jours qui passaient m’érotisa en permanence. Dès que j’étais nu, je m’excitais sur mon ventre lisse et je me branlais. Et le risque constant que ma phobie dépilatoire ne soit découverte lors d’une aventure amoureuse ou à une consultation médicale ne fit qu’ajouter à mon plaisir. Un coté inconsciemment exhibitionniste que je me découvrais.

C’est alors que je passais à l’épilation à la cire chaude. Celle-ci présente l’avantage d’éliminer tous les poils, même les petits duvets parasites. Ce qui garantit une peau d’une extrême douceur au toucher pendant plusieurs semaines. A tel point qu’aujourd’hui je connais tout des épilations et des soins post-épilatoires. Que ce soit la cire chaude traditionnelle, la cire tiède avec des bandes de tissus ou la cire froide, je sais comment éliminer les rougeurs liées à ces épilations. Comme les femmes, je fais des gommages à la repousse des poils, livrant une guerre sans merci aux poils incarnés et aux horribles boutons qui en résulte. Les hommes qui s’épilent me comprendront...

Je découvris à cette occasion combien il est difficile et douloureux d’épiler les zones intimes lorsqu’on est seul et qu’on n’y connaît rien. Sur le pubis, les poils sont drus, fortement implantés et poussent dans tous les sens. La première fois, je fus si maladroit que la cire colla partout. Si bien qu’au niveau des bourses, il fut impossible de la retirer sans m’arracher la peau jusqu’au sang. Après de multiples contorsions et un temps infini, ce furent une nouvelle fois des masturbations à répétitions qui conclurent cette première épilation intime à la cire.

J’ignorais encore l’engrenage dans lequel j’avais mis le doigt. Une fois habituée à mon sexe lisse, j’en vins tout naturellement à m’épiler toujours plus au fil des mois. Une véritable obsession s’empara de moi. Très vite, je passais à l’épilation des aisselles puis de la poitrine. A ce stade, une force inconnue me poussa à épiler tout mon corps, ce que je fis sans plus attendre et sans tenir compte de l’opinion de mon entourage. Quel bonheur de me sentir enfin totalement lisse comme une femme. A tel point qu’aujourd’hui, voir des poils sur mon corps  me semble anormal. Sans compter que ça fait laid et négligé…
A suivre

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